Il était une voie... (deuxième partie)
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Une des grandes affaires de cette exposition sera la circulation sur les Champs-Élysées le
1er juin d'une rame « Téoz », entre la Concorde et l'avenue Georges V.
Rappelons au passage que Gad Weil, organisateur du « Train Capitale » avait été
également l'auteur de « La grande moisson », où un champ de blé prêt à
moissonner avait été installé sur les Champs-Élysées.
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En examinant de prés la voie, posée du côté ombragé de l'avenue, on
remarquera le ballast très léger, plus « gravier d'allée de jardin »
que « ligne du Saint-Gothard ». Il est vrai que la bourreuse-niveleuse utilisée
(au centre) est bien modeste comparée aux monstres de chez Matisa & Co. A droite, la ligne s'arrête
provisoirement au niveau du Rond-point des Champs-Élysées.
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A gauche, des segments de voie sont prêt à combler le hiatus du Rond-point des Champs-Élysées.
On peut remarquer sous le ballast des plaques en bois (!!!), une solution tout à fait révolutionnaire, mais qui ne
doit pas favoriser les grandes vitesses . Au milieu, l'abribus « Franklin Roosevelt »
du bus 73 semble être devenu un PANG (point d'arrêt non géré). On notera le soin avec
lequel un passage piéton a été aménagé. A droite, la rame Téoz attend son heure à la Concorde (réversibilité
assurée par deux locotracteurs Y8700 en téte et en queue de la rame).
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